Contact: humanah.fr@magnohm  (rétablir l'adresse initiale en inversant- ce système évite la copie de l'adresse mail par les robots spammeurs)

Moteur magnétique MM à Energie Libre

Mon Objectif: Réaliser un générateur à Energie Libre basé sur le principe de la résonance d'un circuit LC.

 

 
Théorie de la résonance dans un circuit LC:
Dans un circuit résonnant parallèle le courant d'appel a une valeur minimum tandis que le courant intérieur possède une valeur maximum. Voilà le but à atteindre avec en plus un rotor magnétique tournant au centre de la bobine.

 

Fonctionnement : Un rotor composé de 2 aimants ( massue) tourne à l'intérieur d'une bobine en fil de cuivre émaillé de grande longueur alimentée en courant continu. Un collecteur envoie une tension continue pendant un angle de rotation défini et coupe le courant sur l'angle restant provoquant un effondrement du champs magnétique stocké dans la bobine et la réutilisation de cette énergie.

Premiers essais :
Se faire la main avec du matériel  de récupération sur micro-ondes et apprendre l'électronique pratique. Le subconscient va emmagasiner des données qui vont permettre de mieux comprendre d'autres systèmes et dégager des points communs dont la synthèse peut faire naître  de nouvelles idées.

Moteur MM1-3070 (aimants néodyme diam. 30 mm et lg totale 70 mm du rotor )

J'ai réalisé de  nombreuses expériences pendant l'année 2009 pour trouver les relations entre les différentes valeurs des courants d'alimentation, vitesse de rotation, courant dans la bobine, condensateur,  etc... mais je n'ai pas trouvé pour le moment la résonance du circuit LC. Les paramètres sont nombreux et difficiles à combiner par exemple: l'angle de calage, l'angle de contact du rotor, la valeur du condensateur HT qui n'existe pas en version capacité variable, etc...
C'était aussi l'occasion d'inventer les composants introuvables dans le commerce: collecteur, porte-balais, rotor à aimants, multiplicateur de tension, éclateur, etc...
Voir détails sur la page MagnComposants.htm

 

Les essais ont montré qu'il fallait dépasser 200w pour pouvoir entraîner un alternateur excité et alimenter une batterie de voiture.
L'idée était de produire du 12V DC pour charger une  batterie. Ensuite cette dernière alimenterait un convertisseur 12v DC -220v AC dont le courant était redressé est la tension relevée pour réalimenter le moteur.(rendement déplorable mais négligeable en cas de sur unité)

La méthode était maladroite car il aurait fallu tout d'abord mesurer la puissance sur l'arbre du moteur pour définir s'il y avait sur unité. J'ai fini par fabriquer un "Frein de Prony" car les freins électromagnétiques du commerce sont trop onéreux.

Le premier modèle n'était pas pratique et avait tendance à amplifier les défauts de centrage de l'arbre de sortie. De plus il fallait avoir des poids de valeurs différentes et les changer à chaque essai.

Cette conception est l'idéale car elle permet de mesurer la pression sur une balance électronique. Voir détail et formule sur la page MagnComposants.htm

Ci-dessous le tableau récapitulatif N°1de certains essais de 2009. A noter que l'intensité d'alimentation en rotation sans charge reste identique quelle que soit la tension appliquée. Cette puissance absorbée à vide augmente avec la vitesse. A noter certaines accélérations inexplicables. Mais je n'avais pas d'oscilloscope à ce moment là pour détecter les pics de tension. Lorsque l'on met le moteur en charge l'intensité de l'alimentation augmente automatiquement passant de 0.25 A à plusieurs ampères ce qui crée un problème d'étincelage sur le collecteur.

MM 65130 (aimants diam.60mm et rotor de 130mm de lg)

Nouveau prototype surdimensionné pour la réalisation d'expériences méthodiques et analyses des différents paramètres en vue de trouver la résonance LC du circuit moteur.

- 1 bobine de 5.4 kg en cu émaillé grade II diam. 0.65 mm - 3500 m- 100 ohm - L = 2 Henry (fabrication sur mesure)
- 2 aimants Néodyme diam 60 mm H 30 mm avec un trou diam 6 mm.(Supermagnet)
- condensateur 1 µF HT de micro-ondes
- tripleur de tension AC- DC
- arbre en acier diam 12 mm
- collecteur diam. ext 22 mm
- porte-balais en profilé ALU 10x10 mm
- 2 roulements à billes inox mais non amagnétiques (  il existe des roulements entièrement en céramique pour éviter un freinage par aimantation)
- Visserie en inox amagnétique ou laiton.
- 2 paliers démontables en bois dur.

DANGER: Il est important de prévoir des paliers en 2 parties pour pouvoir démonter l'arbre en 1 seul bloc avec le rotor et les roulements.
Le montage des aimants est très dangereux car chacun possède une attraction d'environ 140 kg et une seule erreur peut vous faire éclater un doigt. Ils ont tendance de se retourner très vite et alors c'est la catastrophe instantanée. Pour les séparer il faut  faire levier avec un gros tournevis et ensuite enfoncer progressivement des cales jusqu'à un écartement sécurisé.
J'ai du fabriquer un tournevis en inox amagnétique et des clés plates en alu car l'attraction est tellement forte et empêche tout serrage de proximité.

Essais du 23 Nov 2010       Calage rotor à 0° - Contact actif collecteur 150° - Mesures sans charge sur l'arbre.
 
Mesures à 1000 t/mn
 Alimentation
IA = 0.13A AC, UA =75V AC
soit consom.= 9.75 W
Circuit bobine
IB = 0.08A AC , UB =300V AC
soit P dans circuit LC = 24 W
Mesures à 1500 t/mn
Alimentation
IA = 0.18A AC, UA = 105V AC
soit consom. = 18.9 W
Circuit bobine
IB = 0.16A AC, UB = 450V AC
soit P dans circuit LC = 72W
 
Soit plus de 3 fois de puissance sur la bobine qu'à l'alimentation !!
Comment expliquer ce résultat étonnant ? Erreur d'interprétation? ... ou dû aux angles de déphasage ?
Lectures faites avec plusieurs appareils de mesures différents.
Les mesures avec l'oscilloscope ne sont pas faites sur la bobine moteur mais sont prises sur une bobine à air de micro-ondes placée à 10cm de là.
On voit des pics négatifs à chaque cycle et au début de la mise sous tension de la bobine. La longueur de ces pics varie suivant la vitesse de rotation du rotor.
Valeurs maxi à (en t/mn):
860 ( 60V), 1085 (75V), 1500 (100V), 2500 (170V) .... ensuite un condo du tripleur de tension a explosé.

Essai en charge: Montage en bout d'arbre d'un frein de Prony avec balance électronique ( voir image ci-dessus)
Modalités: En partant de 1500t/mn stabilisés ( voir résultats ci-dessus) serrage du frein jusqu'à obtention d'une vitesse de env. 1000 t/mn.

Relevés:
Alim IA = 0.9A, UA = 100V  soit  90W consommés
Circuit bobine: IB = 0.19A, UB = 450V soit P = 85,.5 W
Pression: 0,37 kg            vitesse rotation: 1020 t/mn
Puissance produite : N x  m x t/mn /9;55 = 3.7N x 0.1m x 1020 / 9.55 = 39.5 W
Consommation 90 W - puissance sans charge 9,75 W = 80,5 W d'ou rendement 39.5x 100/ 80,5 = 49% seulement

Commentaires:
Dès que le système est en charge intensité consommée augmente d'une façon considérable ( 5x) alors que celui du circuit LC reste à peu près identique mais avec une augmentation de la tension aux bornes de la bobine.

A gauche: le moteur est freiné.

A droite : Après desserrage du frein le moteur reprend automatiquement sa vitesse initiale.

Les électroniciens pourront  interpréter ces résultats car personnellement j'ai des lacunes dans ce domaine.

 

Conclusions:
-  Il faut rechercher un coupleur moteur maximum en charge en jouant sur le réglage dynamique du calage de l'avance ( comme pour un moteur à explosion) et aussi pouvoir faire varier l'angle de durée du contact sur collecteur. Tout se règle à l'arrêt pour l'instant.
-  De plus les balais commencent à faire des étincelles dès une intensité supérieure à 2A.
- Une solution électronique remplaçant le collecteur et permettant le réglage de ces paramètres lors du fonctionnement sera l'idéal pour arriver à une approche méthodique d'une solution de sur-unité. Electroniciens je compte sur vous .....
- 2 méthodes sont à envisagées: Le prélèvement de la puissance sur l'arbre et celui d'une récupération de l'énergie excédentaire directement sur le circuit LC de la bobine.

Suite en cours ........
   
 

MM 3070 (aimants de diam. 30mm et rotor de 70mm de lg)
(MM1 3070 = 1bobine ,  MM2  3070 = 2 bobines, etc ...)

Ce nouveau prototype de petite dimension facilitera les expériences méthodiques et l'approche des différents paramètres en vue de trouver la résonance LC du circuit moteur. De plus  il est facilement reproductible avec des composants de micro-ondes (bobines et condensateurs HT de 1µF).

Si vous avez des réponses aux différentes questions m'écrire sur humanah.fr@magnohm  (rétablir l'adresse initiale en inversant - ce système évite la copie de l'adresse mail par les robots spammeurs)

-  2 bobines récupérées sur micro-ondes avec fil en cu émaillé diam. 0.55 mm - 250g env.- 97 ohm - L = 0.37 Henry - montage en série.
- 6 aimants Néodyme diam 30 mm H 5 mm avec un trou diam 5 mm.(Supermagnet)
- condensateur 1 µF HT de micro-ondes
- pont redresseur à diodes
- arbre en acier diam 10 mm
- collecteur diam. ext. 22 mm
- porte-balais en plexiglas avec lamelles de contact laiton.
- 2 roulements à billes inox mais non amagnétiques
- Visserie en inox amagnétique ou laiton.

 

Calage en utilisant  une ampoule alimentée par pile et branchée sur les bornes des  balais.


La portée isolante du collecteur est réalisée avec de l'isolant électrique adhésif ce qui permet une modification aisée de l'angle actif par découpe ou recollage.

Essais méthodiques:

Conseils: Toujours nettoyer la surface en cuivre du collecteur avant les essais pour éviter des variations importantes des relevés.
De plus il faut refaire des nettoyages en cours d'essais car le balais arrache  la surface de l'adhésif et colle une couche noirâtre sur le cuivre.
Il faut aussi prendre des moyennes lors des mesures car les mesures varient en permanence de quelques %.
.

1 - Par variation de l'angle actif du collecteur ( 180°, 170°, 160°, 150°). Calage PMH 0° , C = 1µF, sans charge, courant redressé par pont de diodes (x1).
Constations: A vide la vitesse la plus élevée est obtenue avec 180°. La puissance calculée sur la bobine est légèrement inférieure à celle absorbée jusqu'à une tension d'alimentation de 165V. Entre 125V et 165V la vitesse de rotation reste constante à 3000 t/mn. A partir de 165V l'accélération reprend. De même la puissance calculée sur le circuit bobine devient excédentaire à partir de 155V jusqu'à 166 % ( 232V sur bobine) par rapport à celle absorbée. A noter certaines accélérations brutales inexpliquées pendant les relevés déjà constatés en 2009 (voir tableau récapitulatif N°1 ci-dessus)

Relevés avec angle 180° actif Mod MM2- 3070   C=1µF Cal 0°
                 
Alim   Bobine   Vitesse Frein P consom P Bobine   Rendement
IA (A) UA (V) IB (A) UB (V) t/mn (g) (W) (W)   (%)
0,12 110 0,08 97 2285          
0,12 115 0,08 100 2440   13,8 8   58
0,12 120 0,09 105 2500          
0,12 125 0,1 102 2670 Nota A
0,1 130 0,08 120 3000   13 9,6   74
0,11 135 0,09 120 3001          
0,12 140 0,09 129 3000          
0,13 145 0,11 138 3000   18,9 15,2   80,5
0,12 150 0,11 138 3000 Nota B
0,12 155 0,11 150 3880          
0,12 160 0,14 155 4000   19,2 21   109
0,12 165 0,14 160 4000   19,8 22,4   113
0,12 170 0,14 168 4220   20,4 23,5   115
0,12 175 0,13 175 4420   21 22,8   108
0,12 180 0,14 182 4550   21,6 25,4   117
0,13 185 15 203 4805 Nota C
0,13 190 0,16 206 4940   24,7 33   133
0,13 195 0,18 208 5000   25,4 37,5   147
0,13 200 0,19 210 5040   26 40   154
0,14 220 0,2 232 5650   28 46,4   166

Note A: Accélération brutale intempestive pendant le relevé de 2670 à 2920 t/mn
Note B: Accélération brutale intempestive pendant le relevé de 3000 à 3680 t/mn
Note C: Changement d'appareil de mesure.

Lectures oscilloscope METRIX OX 710 C: sonde x10, 0.5V, 5 ms, branché sur une bobine de micro-onde placée à environ 5 cm de la bobine du générateur MM2- 3070. Le pont à diodes a été remplacé par le tripleur AC-DC.
 
 2630 t/mn  44 Hz -  UB = 100V   4100t/mn  68 Hz  - UB = 154V   5400 t/mn  90 Hz  -  UB = 214V

Questions:
- A quoi correspond les accélérations  à 2670 t/mn et 3000t/mn ?
- Comment récupérer la puissance excédentaire de 166 % sur la bobine ?

Examen plus détaillé en recommençant les essais dans la zone ou le moteur accélère après le palier des 3000 t/mn.
Le phénomène s'est reproduit dans la zone des 160V (UA). Je réutilise de nouveau le pont redresseur à diode (x1) et non pas le tripleur.

Constat : En temps que mécanicien je dirais qu'on tape avec un marteau sur le rotor dans sa phase de restitution de l'énergie de la bobine. Ces chocs occasionnent des oscillations amorties multiples qui démontrent qu'il existe un apport d'énergie extérieur. (ou autre ?)

A environ 155V l'intensité dans le circuit LC devient plus grande que celle de l'alim. La tension aussi d'ailleurs.


A- A l'approche de UA=160V la courbe commence à se dédoubler.

B- Après 160V il y a plusieurs courbes en opposition. Voir graph. ci-dessous

A noter qu'on ne peut reproduire exactement les mêmes résultats lors des essais successifs mais il existe une certaine cohérence qui introduit un raisonnement pour les expériences suivantes.
Quand je note "accélérations audibles " j'ai l'impression que le moteur se met à cogner comme une avance à l'allumage dans un moteur thermique. On comprend mal la chute des intensités après 125V où cette impression d'accélération avait été ressentie !
Par contre le phénomène se produit toujours à partir de 155V ou plus. Interprétations ?

1 - Par variation de la valeur du condensateurEssais avec des électrochimiques non polarisés de1, 5, 7,4, 10, 15, et 20 µF

Pendant les essais il a fallut remplacer un lame coupée par étincelage. L'idéal sera les balais en carbone.
A noter que les relevés varient suivant la propreté des contacts sur le collecteur. Un coup de bombe de nettoyage améliore les résultats. En général on retrouve une certaine logique malgré quelques doutes sur certains points ponctuels.
A partir de IA = 0.3 A les étincelles deviennent importantes.

Tableau des relevés. A noter que les  lames en laiton ont été équipé de charbons pour les mesures en 150V.
Mesures faites avec UA = 100V, 150V et 200V
* = niveau de l'étincelage.
 
Relevés des 4 et 5 dec 2010 / RR Mod MM2- 3070 C= choix Cal 0°
                   
  Alim   Bobine   Vitesse   P consom P Bobine Coeff.  
C en µF IA (A) UA (V) IB (A) UB (V) t/mn   (W) (W)    
                   
0,02 0,09 100 0,04 113 2240 ** 9 4,5 0,5  
1 0,11 100 0,09 91 2320   11 8,2 0,74  
5 0,13 100 0,17 92 2290   13 15,6 1,2  
7,4 0,15 100 0,22 86 2080   15 18,9 1,26  
10 0,2 100 0,31 91 2000   20 28,2 1,4 max
15 0,25 100 0,38 84 1880   25 32 1,3  
20 0,19 100 0,27 62 1406   19 16,7 0,9  
                   
0,02 0,1 150 0,04 185 3600 ** 15 7,4 0,5  
1 0,15 150 0,1 143 3000   22,5 14,3 0,63  
5 0,18 150 0,3 145 3160   27 43,5 1,6 max
7,4 0,24 150 0,36 137 2780   36 49,3 1,37  
10 0,3 150 0,46 138 2670   45 63,5 1,4  
15 0,41 150 0,6 132 2400   61,5 79,2 1,3  
20 0,55 150 0,72 124 2000 * 82,5 89,28 1,1  
                   
0,02 0,1 200 0,09 250 3270 *** 20 22,5 1,12  
1 0,12 200 0,19 195 4775   24 37,05 1,54  
5 0,29 200 0,53 202 3920   58 107,1 1,84 max
7,4 0,38 200 0,56 173 3380 * 76 96,9 1,27  
10 0,46 200 0,7 168 3200 ** 92 117,6 1,28  
15 0,6 200 0,85 146 2730 *** 120 96,9 0,8  
20 0,6 200 0,7 114 2500 *** 120 79,8 0,66  

 

Remarques:
- Pour C= 0.02 µF le tension UB est toujours supérieure à l'alim UA.
- C'est avec la valeur C = 5 µF qu'on obtient le meilleur rendement à vide. Cette valeur va être adoptée pour les futurs essais en charge.

Dicton inventé ce jour 7 décembre 2010: Les échecs sont le terreau des futures réussites.
Voilà qui remonte le moral !

Les essais en charge avec le frein de Prony n'ont rien donné de positif. Le couple moteur s'écroule et la vitesse se maintient automatiquement en générant un appel d'intensité qui provoque d'importantes étincelles sur le collecteur. En temps que mécanicien de formation je retrouve les problèmes d'un moteur dont l'avance à l'allumage serait fixe. Il me faut donc analyser les différentes phases de fonctionnement.

Nouvelle approche:  Ajouter une bobine secondaire + condensateur en parallèle sur le haut dans l'axe du rotor afin de chercher une résonance par induction.
 
Bobine de récup. micro-ondes de 0,37H.
Circuit en parallèle avec C en µF variable ( 1- 3,4 - 5 - 6,2 - 7,4 - 8,6 - 10 - 12,6 µF).
Avec vitesse constante 2000 t/mn meilleur coeff. avec 7,4 µF ( 1,26)
Impossible de dépasser 2800 t/mn ( le tripleur n'est pas utilisé car trop d'étincelles sur le collecteur avec portée en ruban adhésif.)
La formule de Thomson ne semble pas applicable par suite de la présence du rotor tournant.

Mais si on fait le calcul quand même on obtient avec L=0.37H, C=7.4 µF  une vitesse de rotation d'environ 6000 t/mn.

Il est donc nécessaire de faire un collecteur plus élaboré pour supporter cette vitesse et monter le tripleur de tension.

Réalisation de rainurages d'isolement sur le collecteur pour remplacer le ruban adhésif. Valeur 33 mm sur le diam. soit un angle de 172 °.
 
Important: On constate que l'étincelage est fonction de:
- l'intensité
- de la pression des charbons sur la portée ( si vous augmentez  la pression sur le charbon vous voyez la vitesse augmenter et les étincelles diminuer)
- de l'état de la portée du charbon (il faut d'abord l'ajuster en passant une toile émeri entre sa base et le collecteur et ensuite faire tourner le moteur pour effectuer un rodage qui va polir sa surface). Sinon vos essais vont complètement être faussés.
 
 

Amélioration du redressement du courant d'alimentation par montage d'un condensateur en parallèle sur le circuit.
On constate qu'il faut une grande capacité pour un redressement parfait après le pont à diodes.

Sans condensateur

 Avec C = 5µF

 Avec C = 12,6 µF  Avec C = 470 µF

La vitesse de rotation change à chaque fois:
- 3540 t/mn sans, 3600 t/mn avec 3,4 µF, 3000t/mn avec 5 µF, 4500 t/mn avec 12,6 µF, 5240 t/mn avec 470 µF

Etude du point de résonance
Expériences destinées à mieux comprendre la résonance dans un circuit LC parallèle.

1- Bobine à air ( sans rotor aimanté)
Utilisation de 2 bobines de micro-ondes montées en série ( total 1.1 H - R= 174.5 Ohms) + un assortiment de condensateurs électrolytiques. Alimentation sur courant secteur 50 Hz.
 
               
130V 50 Hz       228V 50 Hz  
C (µF) IA IC IB     IA IC IB
               
1 0,29 0,02 0,3     0,53 0,05 0,45
3,4 0,22 0,11 0,29     0,39 0,21 0,44
5 0,19 0,18 0,28     0,33 0,32 0,45
7,4 0,17 0,29 0,28     0,3 0,51 0,49
8,4 0,17 0,33 0,27     0,31 0,57 0,48
10 0,19 0,39 0,28     0,35 0,7 0,47
12,6 0,28 0,5 0,28     0,5 0,9 0,44
               

 


IA: Intensité d'alimentation
IC:  Intensité condensateur
IB: Intensité bobines

 

 
On constate que le point de résonance et obtenu avec un condensateur de 7,4 µF environ.
L'impédance Z du circuit LC reste la même (Avec 130 V  Z = U/I soit 760 Ohms et pour 228 V  Z=760 Ohms)
L'intensité circuit condensateur suit une montée  proportionnelle et celle des bobines reste assez constante.
L'impédance due à la FCEM est donc environ 760 - 174.5 = 585.5 Ohms
 

2 - Bobine à air avec rotor aimanté en position statique verticale
 
La grande différence se trouve dans le courant des bobines qui est descendu à environ 0.2 A ... avec une pointe pour le C=8.4 µF ?
Les 2 autres courbes ( alim et condensateur reste à peu près identiques. Le point de résonance s'est décalé légèrement.

Reste donc à relever les valeurs ou à les calculer  lorsque le rotor tourne !!!


Suite à mes visites constantes sur Internet j'ai fini par trouver des essais sur la machine de Newman
fait par Naudin et d'autres chercheurs en 1998 ( http://www.quanthomme.info/newman/NND6_0.htm )

Apparemment le principe ressemble à mon moteur MM et je peux en tirer d'importants conseils pour améliorer mes propres recherches. Les pics négatifs que j'ai moi-même constatés ( voir ci-avant) sont bien l'énergie sur-unitaire recherchée mais il faut les multiplier et savoir extraire leur énergie pour recharger une batterie 12V.
Voici des photos faites par Naudin sur son oscilloscope qui prouve la présence de l'énergie libre qui est confirmé par la chute de température de la bobine à partir de15mn alors que celle-ci aurait du chauffer.

Extrait du site

Au 27/06/1998, voici les points clés trouvés sur la machine de Newman.

  • Point clé 1
    L’énergie LIBRE doit être captée à partir du collecteur (inducteur) pendant qu’il se charge lui-même avec sa propre énergie magnétique.
  • Point clé 2
    L’ENERGIE NEGATIVE CAPTEE SERA D’AUTANT PLUS ELEVEE QUE LE POTENTIEL SERA ELEVE.
  • Point clé 3
    L’efficacité SERA D’AUTANT PLUS GRANDE QUE LE NOMBRE DE PAS (RUPTURES DE FLUX) SERA ELEVE PENDANT LA PHASE DE CHARGEMENT du ‘’collecteur’’
  • Point clé 4
    Pour obtenir davantage de retour d’énergie électrique en provenance de la bobine, la durée d’impulsion doit être au moins de 1/20 ème de celle de la constante de temps L/R et, en même temps, on doit appliquer un très important champ magnétique changeant (champ produit par un rotor d’aimant permanent en rotation)
  • Point clé 5
    Le courant négatif vient de l’EFFET DISRUPTIF causé par les contacts segmentés sur une surface inégale pendant la séquence d’allumage. L’énergie négative (la véritable Energie Libre) est pompée à partir du vide PENDANT LES CHUTES DE COURANT POSITIF. Ces chutes créent une sorte d’effet ‘’syphon’’ dans l’éther, ce qui pompe l’énergie libre et crée ces fortes et profondes crêtes visibles sur mes photos d’oscilloscope.
  • Point clé 6
    La durée ou la ‘’vie’’ (l’existence) de ce courant négatif peut être ENTRETENUE par DE PETITES FLUCTUATIONS dans le potentiel qui chute, juste après la disruption. On peut faire cela avec une CONCEPTION SPECIALE D’ECLATEUR ou UNE FORME SPECIALE des contacts segmentés.

En conséquent il ne me reste plus qu'à faire des essais identiques sur mon moteur MM et décrire les résultats.

26 janv 2011 :    A suivre.
20 avril 2011 :   Toujours pas reçu d'aide d'un électronicien pour me conseiller sur un montage qui pourrait me permettre de récupérer le courant négatif pour charger une batterie 12 V ou plus. Merci de penser à moi.

20 mai 2011 : Ah ! enfin un tuyau intéressant. Hervé est en train de traduire le site anglais de Joseph Newman.
Voir http://josephnewman.unblog.fr   Merci Hervé  !!!

 

Arrêt momentané des recherches basées sur la résonance.

Grâce aux conseils judicieux de l’ami Roland, électronicien, j’ai pu réaliser des expériences qui m’ont prouvé que :

- On constate qu'on ne peux pas atteindre la résonance parfaite parce que la tension contient trop d’harmoniques

- et même si résonance il y a le fait de pomper de l'énergie sur le circuit bobine fera chuter la vitesse de rotation donc modifier la fréquence de résonance. Il y aura forcément un nouveau besoin d'appel d'énergie sur l'alimentation qui n’est pas favorable à la production d’énergie sur unitaire …. à moins qu’un phénomène inconnu n’apparaisse.

 

 

 

Retour page Accueil

En rédaction permanente   mise à jour 16 oct 2012 / RR